EL MOVIMIENTO NEGRO, LA CONSTITUCIÓN DE 1988 Y LA CUESTIÓN DE TERRITORIALIDAD EN LA PRESERVACIÓN DE UNA CULTURA: LA COMUNIDAD REMANESCIENTE DE CAÇANDOCA

Contenu principal de l'article

Egléia Adalgizo Minas
Leonice Domingos dos Santos Cintra Lima

Résumé

Cet article présente le résultat d'études réalisé sur le mouvement noir au Brésil, en particulier en ce qui concerne la lutte pour la propriété de la terre restante de la période esclavagiste dans laquelle la population acquiert le droit de possession après la Constitution Fédérale de 88. Révèle à travers de la présentation de fragments des luttes de la communauté restant Caçandoca - Ferme située à Ubatuba/SP, pour la légitimité des droits à terre prévus dans le texte constitutionnelle. Présente bref examen de le période socio-politique antérieur la promulgation de la Lettre Magna dans les années 80. Le texte point pour l’organisation de la lutte des noirs et la nécessité de prendre de l'identité de marronnage pour la conquis du droit acquis, révèle des éléments de préjugés raciaux et l'exclusion sociale des noirs au Brésil. Expose les difficultés de la légitimation et de l'efficacité des politiques d'action positive dans le pays et montre comme ces difficultés mettent en évidence le racisme encore fortement ancrée dans la société brésilienne. Ainsi, l'article reconstruit la mémoire collective du marron et la pression subie par la communauté pour les spéculateurs immobiliers qui vivent dans la région.

Renseignements sur l'article

Comment citer
Minas, E. A., & Lima, L. D. dos S. C. (2016). EL MOVIMIENTO NEGRO, LA CONSTITUCIÓN DE 1988 Y LA CUESTIÓN DE TERRITORIALIDAD EN LA PRESERVACIÓN DE UNA CULTURA: LA COMUNIDAD REMANESCIENTE DE CAÇANDOCA. Magazine De l’Association Brésilienne Des Chercheurs(ses) Noirs(es), 8(20), 06–22. Consulté à l’adresse https://abpn.emnuvens.com.br/site/article/view/5
Rubrique
Artigos